Burnout 2
Publié : 12 avr. 2003, 02:23
Allez on se remet 1 an en arrière et on se remémore le premier Burnout qui était faut le dire assez frustrant avec ces ralentis qui cassés un peu le rythme du jeu, la tolérance des collisions qui frôlé le zéro absolu et surtout les véhicules qui restés scotché sur la route après une collision, ce qui donné un simple petit jeu sympa quelques minutes mais sans réel atout pour être un hit. Mais voilà Criterion a changé tout ça pour nous pondre une suite vraiment digne de ce nom, en corrigeant ces défauts là et offrir une petite bombe sur vitaminé pour les fans avides de sensations fortes.
On démarre
Le moment tant attendu est là, je met ma jolie galette dans ma PS2 et je constate oh miracle et surtout avec une joie assez prononcée le mode 50/60hz (cela faisait un moment que l’on demandé et enfin les développeurs nous écoute) mais de suite une autre surprise m’attend…il y a aucune cinématique, rien, juste les logos de Criterion, Acclaim, Renderware et c’est tout…mais le logo de fin nous met l’eau à la bouche enfin surtout pour ceux qui bénéficie d’un ampli, pourquoi ? parce que le jeu est compatible avec le dolby surround pro logic II. Bref on remarque aussi que les temps de chargements sont extrêmement rapide et que les menus sont assez classique et la navigation se déroule sans problèmes mais commençons par le commencement.
60 Secondes Chrono
Le jeu repose sur un assez grand nombre de mode de jeu, de la course simple au championnat en passant par le mode multi-joueurs , poursuite et le mode le plus incorrect de toute l’histoire des jeu de caisse, je parle du mode Crash où l’intérêt est de se lancer à fond dans des carrefours, autoroutes et de provoquer les carambolages les plus impressionnant possible. Mais allons voir le mode de permis a la Gran Turismo mais en beaucoup moins complexe et surtout bien plus fun, ce mode est composé de 10 épreuves qui va vous permettre de débloquer le mode championnat et si vous obtenez l’or à toutes les épreuves vous gagnerez en plus la voiture de l’auto-école.
En voiture Simone
Et voilà le championnat est débloquer est c’est le gros du jeu qui vous appartiens, ce championnat est composé de mini challenges : poursuite, duel et championnat qui s’ouvrent au fur et à mesure que vous gagnez mais autant vous le dire tout de suite il faudra gagner l’or pour débloquer ces mini challenges, nouveaux circuits et voitures bonus, en tout ce sera 15 circuits plus 15 reverses et une vingtaine de caisse. Par la suite le mode Crash sera à votre disposition tout comme le mode Poursuit et quelques codes bien sympatoche mais sans plus. Une dizaine d’heures vous suffira à le claquer et c’est assez dommage parce qu’ont auraient bien aimé plus mais pour un jeu d’arcade on dira que c’est satisfaisant.
Une réussite technique
Alors je vais êtes franc et direct, ce jeu est un pur concentré d’adrénaline et de fun, la sensation de vitesse est totalement bluffante et la frame rate ne baisse pas d’un iota 60img/s même le boost enclenché et en mode 2 joueurs la vitesse est toujours aussi impressionnante et aucun clipping. Le jeu bénéficie d’un rendu graphique vraiment sublime ont sent que le renderware de criterion a vraiment exploité les capacités de la PS2, l’aliasing est inexistant et les textures sont vraiment détaillées, mention spéciale pour le goudron qui est vraiment bien rendu et au petit effet de déformation de l’écran dès lors qu’on enclenche le boost. La durée de vie est pas très élevée comme je l’ai cité plus haut mais le mode mutli joueurs permet de s’amuser avec un ami et le mode Crash permettra à 4 joueurs de s’affronter.
Un finish de folie
Pour finir je conseillerai qu’une seule chose, si Gran Turismo été trop compliqué pour vous et que le rally ne vous plait pas, Burnout 2 va vous scotcher au fauteuil pendant un bon petit moment et se refaire une course en slalomant à travers le trafic est toujours un régal, c’est simple moi qui suis fan de jeu de caisse et grand fan de Gran Turismo je peux vous avouer que ce Burnout m’a vraiment plu et que j’y reviens même en l’ayant fini de long en large et en travers mais soyons franc il a quand même quelques défauts du genre : durée de vie, trafic un peu statique même si il l’est moins que le premier opus, et la triche de l’ordinateur par moment mais ceci n’entache en rien les réels qualités de ce jeu et je vous le conseil vivement.
Ashriot
16/20
On démarre
Le moment tant attendu est là, je met ma jolie galette dans ma PS2 et je constate oh miracle et surtout avec une joie assez prononcée le mode 50/60hz (cela faisait un moment que l’on demandé et enfin les développeurs nous écoute) mais de suite une autre surprise m’attend…il y a aucune cinématique, rien, juste les logos de Criterion, Acclaim, Renderware et c’est tout…mais le logo de fin nous met l’eau à la bouche enfin surtout pour ceux qui bénéficie d’un ampli, pourquoi ? parce que le jeu est compatible avec le dolby surround pro logic II. Bref on remarque aussi que les temps de chargements sont extrêmement rapide et que les menus sont assez classique et la navigation se déroule sans problèmes mais commençons par le commencement.
60 Secondes Chrono
Le jeu repose sur un assez grand nombre de mode de jeu, de la course simple au championnat en passant par le mode multi-joueurs , poursuite et le mode le plus incorrect de toute l’histoire des jeu de caisse, je parle du mode Crash où l’intérêt est de se lancer à fond dans des carrefours, autoroutes et de provoquer les carambolages les plus impressionnant possible. Mais allons voir le mode de permis a la Gran Turismo mais en beaucoup moins complexe et surtout bien plus fun, ce mode est composé de 10 épreuves qui va vous permettre de débloquer le mode championnat et si vous obtenez l’or à toutes les épreuves vous gagnerez en plus la voiture de l’auto-école.
En voiture Simone
Et voilà le championnat est débloquer est c’est le gros du jeu qui vous appartiens, ce championnat est composé de mini challenges : poursuite, duel et championnat qui s’ouvrent au fur et à mesure que vous gagnez mais autant vous le dire tout de suite il faudra gagner l’or pour débloquer ces mini challenges, nouveaux circuits et voitures bonus, en tout ce sera 15 circuits plus 15 reverses et une vingtaine de caisse. Par la suite le mode Crash sera à votre disposition tout comme le mode Poursuit et quelques codes bien sympatoche mais sans plus. Une dizaine d’heures vous suffira à le claquer et c’est assez dommage parce qu’ont auraient bien aimé plus mais pour un jeu d’arcade on dira que c’est satisfaisant.
Une réussite technique
Alors je vais êtes franc et direct, ce jeu est un pur concentré d’adrénaline et de fun, la sensation de vitesse est totalement bluffante et la frame rate ne baisse pas d’un iota 60img/s même le boost enclenché et en mode 2 joueurs la vitesse est toujours aussi impressionnante et aucun clipping. Le jeu bénéficie d’un rendu graphique vraiment sublime ont sent que le renderware de criterion a vraiment exploité les capacités de la PS2, l’aliasing est inexistant et les textures sont vraiment détaillées, mention spéciale pour le goudron qui est vraiment bien rendu et au petit effet de déformation de l’écran dès lors qu’on enclenche le boost. La durée de vie est pas très élevée comme je l’ai cité plus haut mais le mode mutli joueurs permet de s’amuser avec un ami et le mode Crash permettra à 4 joueurs de s’affronter.
Un finish de folie
Pour finir je conseillerai qu’une seule chose, si Gran Turismo été trop compliqué pour vous et que le rally ne vous plait pas, Burnout 2 va vous scotcher au fauteuil pendant un bon petit moment et se refaire une course en slalomant à travers le trafic est toujours un régal, c’est simple moi qui suis fan de jeu de caisse et grand fan de Gran Turismo je peux vous avouer que ce Burnout m’a vraiment plu et que j’y reviens même en l’ayant fini de long en large et en travers mais soyons franc il a quand même quelques défauts du genre : durée de vie, trafic un peu statique même si il l’est moins que le premier opus, et la triche de l’ordinateur par moment mais ceci n’entache en rien les réels qualités de ce jeu et je vous le conseil vivement.
Ashriot
16/20