Allez on se remet 1 an en arrière et on se remémore le premier Burnout qui était faut le dire assez frustrant avec ces ralentis qui cassés un peu le rythme du jeu, la tolérance des collisions qui frôlé le zéro absolu et surtout les véhicules qui restés scotché sur la route après une collision, ce qui donné un simple petit jeu sympa quelques minutes mais sans réel atout pour être un hit. Mais voilà Criterion a changé tout ça pour nous pondre une suite vraiment digne de ce nom, en corrigeant ces défauts là et offrir une petite bombe sur vitaminé pour les fans avides de sensations fortes.
On démarre
Le moment tant attendu est là, je met ma jolie galette dans ma PS2 et je constate oh miracle et surtout avec une joie assez prononcée le mode 50/60hz (cela faisait un moment que l’on demandé et enfin les développeurs nous écoute) mais de suite une autre surprise m’attend…il y a aucune cinématique, rien, juste les logos de Criterion, Acclaim, Renderware et c’est tout…mais le logo de fin nous met l’eau à la bouche enfin surtout pour ceux qui bénéficie d’un ampli, pourquoi ? parce que le jeu est compatible avec le dolby surround pro logic II. Bref on remarque aussi que les temps de chargements sont extrêmement rapide et que les menus sont assez classique et la navigation se déroule sans problèmes mais commençons par le commencement.
60 Secondes Chrono
Le jeu repose sur un assez grand nombre de mode de jeu, de la course simple au championnat en passant par le mode multi-joueurs , poursuite et le mode le plus incorrect de toute l’histoire des jeu de caisse, je parle du mode Crash où l’intérêt est de se lancer à fond dans des carrefours, autoroutes et de provoquer les carambolages les plus impressionnant possible. Mais allons voir le mode de permis a la Gran Turismo mais en beaucoup moins complexe et surtout bien plus fun, ce mode est composé de 10 épreuves qui va vous permettre de débloquer le mode championnat et si vous obtenez l’or à toutes les épreuves vous gagnerez en plus la voiture de l’auto-école.
En voiture Simone
Et voilà le championnat est débloquer est c’est le gros du jeu qui vous appartiens, ce championnat est composé de mini challenges : poursuite, duel et championnat qui s’ouvrent au fur et à mesure que vous gagnez mais autant vous le dire tout de suite il faudra gagner l’or pour débloquer ces mini challenges, nouveaux circuits et voitures bonus, en tout ce sera 15 circuits plus 15 reverses et une vingtaine de caisse. Par la suite le mode Crash sera à votre disposition tout comme le mode Poursuit et quelques codes bien sympatoche mais sans plus. Une dizaine d’heures vous suffira à le claquer et c’est assez dommage parce qu’ont auraient bien aimé plus mais pour un jeu d’arcade on dira que c’est satisfaisant.
Une réussite technique
Alors je vais êtes franc et direct, ce jeu est un pur concentré d’adrénaline et de fun, la sensation de vitesse est totalement bluffante et la frame rate ne baisse pas d’un iota 60img/s même le boost enclenché et en mode 2 joueurs la vitesse est toujours aussi impressionnante et aucun clipping. Le jeu bénéficie d’un rendu graphique vraiment sublime ont sent que le renderware de criterion a vraiment exploité les capacités de la PS2, l’aliasing est inexistant et les textures sont vraiment détaillées, mention spéciale pour le goudron qui est vraiment bien rendu et au petit effet de déformation de l’écran dès lors qu’on enclenche le boost. La durée de vie est pas très élevée comme je l’ai cité plus haut mais le mode mutli joueurs permet de s’amuser avec un ami et le mode Crash permettra à 4 joueurs de s’affronter.
Un finish de folie
Pour finir je conseillerai qu’une seule chose, si Gran Turismo été trop compliqué pour vous et que le rally ne vous plait pas, Burnout 2 va vous scotcher au fauteuil pendant un bon petit moment et se refaire une course en slalomant à travers le trafic est toujours un régal, c’est simple moi qui suis fan de jeu de caisse et grand fan de Gran Turismo je peux vous avouer que ce Burnout m’a vraiment plu et que j’y reviens même en l’ayant fini de long en large et en travers mais soyons franc il a quand même quelques défauts du genre : durée de vie, trafic un peu statique même si il l’est moins que le premier opus, et la triche de l’ordinateur par moment mais ceci n’entache en rien les réels qualités de ce jeu et je vous le conseil vivement.
Ashriot
16/20
Burnout 2
BURNOUT 2
Burnout 2 : Point of impact
Plateforme : XBox, Nintendo GameCube. (Test de la version PS2)
Genre : Course d'aracade
Editeur : Acclaim
Développeur : Critérion
Prix conseillé : 60 €
Similaire à : Shox, Need For Speed, Burnout.
Burnout, c'est un peu le choix de Sarkozy (http://www.facandfurious.com/upload/sarko.jpg), rouler comme un déglingo sur des routes surchargées alors que les pouvoirs publics prônent un comportement exemplaires sur les routes. Nous, les français d'en bas, on s'en moque un peu puisqu'on aura jamais de quoi se payer des bolides mais notre ami le ministre de l'intérieur a bien compris le système de Burnout.
Après ce chapeau politisant, politique, revenons à nos moutons vidéoludiques. Critérion donne une suite à Burnout, je jeu d'arcade le plus speedé du moment. Et plus qu'une simple suite sans grandes innovations, on nous a gâté car les nouveautés sont légions.
On retrouve bien entendu le principe, l'essence même de ce qui a fait le succès du premier opus : En trois mots, de l'écrasage de champignon sur des routes bondées dans le plus pur style " chassé croisé des vacances d'été ".
Premier constat, les modes de jeux ont été revus à la hausse. On retrouve toujours le classique mode championnat, quelque peu remanié puisque il faut remporter un championnat pour débloquer de nouveaux monstres huilés, dévoreurs d'asphalte ainsi que de nouvelles épreuves. S'ajoutent donc, les modes " crash " et " poursuite " dont les titres parlent d'aux même mais, en bon seigneur que je suis, je vais détailler. Le mode " crash " vous propose de jeter votre morale aux toilettes quelques instants et de provoquer les carambolages les plus spectaculaires et destructeurs possibles en explosant votre voiture en plein milieu d'un carrefour encombré par exemple. Le mode " poursuite " vous fera quant à lui sortir votre morale des toilettes en endossant le rôle des forces de l'ordre poursuivant des méchants chauffards. Un peu à la manière d'un Need For Speed mais sans en abuser… Il ne s'agit ici que d'un petit aspect du soft. Je vous fais grâce de l'anecdotique mode " contre la montre " qui est réservé aux furieux voulant plier le jeu à 100 %.
Une fois le mode choisi, la claque est graphique. Pof ! Exit le méchant aliasing (effet d'escalier et de scintillement super désagréable dû à la faible mémoire vidéo de la PS2) de Burnout et place aux graphismes soignés, détaillés du frangin. L'aliasing a en effet disparu, la vitesse d'animation ne souffre d'aucun ralentissement et les effets visuels sont nombreux et en jettent un max. Du lens-flare, des reflets sur les carrosseries, des conditions climatiques changeantes (nuit, pluie, neige), de jolies effets de lumière et de particules magnifiquement gérés lors des collisions. Le travail fourni par les développeurs fait plaisir à voir tant la lisibilité est parfaite. Et c'est un moindre mal car, ça speede vraiment.
Dans leur approche d'un fun et de sensations plus poussées que dans le premier opus, les ch'ti gars de Critérion ont quelques peu remanié le gameplay pour le rendre à la fois plus accessible et plus intuitif permettant des prouesses dignes d'un Jean Alési (j'ai été trop loin là ?). Les modèles physiques sont convaincants (attention ça reste de l'arcade quand même !) et permettent des esquives de 39 tonnes à 260 km/h nose in the finger… De plus, le moteur de collision a été retravaillé de manière à la rendre plus tolérant et compréhensible. On n'a plus cette impression de ne pas toujours comprendre pourquoi ça passait et pourquoi ça ne passait pas, inhérente au premier épisode. Et la cerise sur la gâteau, c'est le remaniement du système de boost. La jauge est plus facile à remplir qu'auparavant. Mais pour la remplir, il faut le mériter et le mérite rime souvent avec danger dans Burnout. Sens inverse, dérapages et sauts sont autant de moyens de remplir votre speed meter. De la même manière, un tour effectué sans le moindre accrochage vous gratifiera d'une jauge remplie. Ces manœuvres s'effectuant assez facilement, on passe la moitié de la course à fond les ballons… diablement grisant.
Cette sensation grisante est accentuée par une bande originale nourrie à la dynamite. Des guitares bien acérées, un beat agressif qui se montrent discrets à vitesse normale mais une fois le turbo enclanché, les effets sonores disparaissent et laissent la musique faire sa loi. L'effet est tout simplement jubilatoire et accentue l'immersion.
Plus beau, plus étoffé, plus de véhicules (14 dont 7 à débloquer) mais malheureusement pas plus long. Burnout 2 ne brille pas vraiment par sa difficulté. Les différents championnats se remportent assez facilement, et il en va de même des autres modes de jeux. Le titre d'Acclaim ne doit son salut qu'à son mode multijoueurs permettant à 2 joueurs de s'affronter sur écran splitté.
8.5/10 Passé ce défaut, Burnout 2 est une perle d'arcade à l'état pur. Un concentré d'adrénaline et de fun… Des sensations que nous nous devons de ne vivre que les mains sur un paddle, n'est ce pas Nicolas ?..
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Plateforme : XBox, Nintendo GameCube. (Test de la version PS2)
Genre : Course d'aracade
Editeur : Acclaim
Développeur : Critérion
Prix conseillé : 60 €
Similaire à : Shox, Need For Speed, Burnout.
Burnout, c'est un peu le choix de Sarkozy (http://www.facandfurious.com/upload/sarko.jpg), rouler comme un déglingo sur des routes surchargées alors que les pouvoirs publics prônent un comportement exemplaires sur les routes. Nous, les français d'en bas, on s'en moque un peu puisqu'on aura jamais de quoi se payer des bolides mais notre ami le ministre de l'intérieur a bien compris le système de Burnout.
Après ce chapeau politisant, politique, revenons à nos moutons vidéoludiques. Critérion donne une suite à Burnout, je jeu d'arcade le plus speedé du moment. Et plus qu'une simple suite sans grandes innovations, on nous a gâté car les nouveautés sont légions.
On retrouve bien entendu le principe, l'essence même de ce qui a fait le succès du premier opus : En trois mots, de l'écrasage de champignon sur des routes bondées dans le plus pur style " chassé croisé des vacances d'été ".
Premier constat, les modes de jeux ont été revus à la hausse. On retrouve toujours le classique mode championnat, quelque peu remanié puisque il faut remporter un championnat pour débloquer de nouveaux monstres huilés, dévoreurs d'asphalte ainsi que de nouvelles épreuves. S'ajoutent donc, les modes " crash " et " poursuite " dont les titres parlent d'aux même mais, en bon seigneur que je suis, je vais détailler. Le mode " crash " vous propose de jeter votre morale aux toilettes quelques instants et de provoquer les carambolages les plus spectaculaires et destructeurs possibles en explosant votre voiture en plein milieu d'un carrefour encombré par exemple. Le mode " poursuite " vous fera quant à lui sortir votre morale des toilettes en endossant le rôle des forces de l'ordre poursuivant des méchants chauffards. Un peu à la manière d'un Need For Speed mais sans en abuser… Il ne s'agit ici que d'un petit aspect du soft. Je vous fais grâce de l'anecdotique mode " contre la montre " qui est réservé aux furieux voulant plier le jeu à 100 %.
Une fois le mode choisi, la claque est graphique. Pof ! Exit le méchant aliasing (effet d'escalier et de scintillement super désagréable dû à la faible mémoire vidéo de la PS2) de Burnout et place aux graphismes soignés, détaillés du frangin. L'aliasing a en effet disparu, la vitesse d'animation ne souffre d'aucun ralentissement et les effets visuels sont nombreux et en jettent un max. Du lens-flare, des reflets sur les carrosseries, des conditions climatiques changeantes (nuit, pluie, neige), de jolies effets de lumière et de particules magnifiquement gérés lors des collisions. Le travail fourni par les développeurs fait plaisir à voir tant la lisibilité est parfaite. Et c'est un moindre mal car, ça speede vraiment.
Dans leur approche d'un fun et de sensations plus poussées que dans le premier opus, les ch'ti gars de Critérion ont quelques peu remanié le gameplay pour le rendre à la fois plus accessible et plus intuitif permettant des prouesses dignes d'un Jean Alési (j'ai été trop loin là ?). Les modèles physiques sont convaincants (attention ça reste de l'arcade quand même !) et permettent des esquives de 39 tonnes à 260 km/h nose in the finger… De plus, le moteur de collision a été retravaillé de manière à la rendre plus tolérant et compréhensible. On n'a plus cette impression de ne pas toujours comprendre pourquoi ça passait et pourquoi ça ne passait pas, inhérente au premier épisode. Et la cerise sur la gâteau, c'est le remaniement du système de boost. La jauge est plus facile à remplir qu'auparavant. Mais pour la remplir, il faut le mériter et le mérite rime souvent avec danger dans Burnout. Sens inverse, dérapages et sauts sont autant de moyens de remplir votre speed meter. De la même manière, un tour effectué sans le moindre accrochage vous gratifiera d'une jauge remplie. Ces manœuvres s'effectuant assez facilement, on passe la moitié de la course à fond les ballons… diablement grisant.
Cette sensation grisante est accentuée par une bande originale nourrie à la dynamite. Des guitares bien acérées, un beat agressif qui se montrent discrets à vitesse normale mais une fois le turbo enclanché, les effets sonores disparaissent et laissent la musique faire sa loi. L'effet est tout simplement jubilatoire et accentue l'immersion.
Plus beau, plus étoffé, plus de véhicules (14 dont 7 à débloquer) mais malheureusement pas plus long. Burnout 2 ne brille pas vraiment par sa difficulté. Les différents championnats se remportent assez facilement, et il en va de même des autres modes de jeux. Le titre d'Acclaim ne doit son salut qu'à son mode multijoueurs permettant à 2 joueurs de s'affronter sur écran splitté.
8.5/10 Passé ce défaut, Burnout 2 est une perle d'arcade à l'état pur. Un concentré d'adrénaline et de fun… Des sensations que nous nous devons de ne vivre que les mains sur un paddle, n'est ce pas Nicolas ?..
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On attend ça avec impatience Mowgli! D'ailleurs moi aussi un jour faudra que je rédige un ch'tit test tout beau tout propre parce que ce jeu c'est vraiment l'extase avec un pote c'est d'enfer! 
C'est aussi pareil pour toi Lolo je crois!Lolo a écrit :c vrai, genial
tu as vraiment craquer pour Burnout 2 pasta.
oui perfectmanPerfectman3 a écrit :On attend ça avec impatience Mowgli! D'ailleurs moi aussi un jour faudra que je rédige un ch'tit test tout beau tout propre parce que ce jeu c'est vraiment l'extase avec un pote c'est d'enfer!
C'est aussi pareil pour toi Lolo je crois!Lolo a écrit :c vrai, genial
tu as vraiment craquer pour Burnout 2 pasta.
Le nombre d'heures que j'ai jouer avec mon pote a Burnout 2, c'est hallucinant. Et a force de jouer, je trouve vraiment qu'il y a un manque flagrant de circuits.