Isaac a écrit :Je ne sais pas où est la faiblesse de croire aux paroles de developpeurs.
On peut appliquer ça à tout projet vidéoludique, par exemple:
Je crois au projet de la Playstation 3 car je le suis depuis longtemps et que j'admire la culture ainsi que la conviction des personnes qui travaillent dessus.
Il faut simplement savoir distinguer le hype "Moulyneusien" de la réalité. Et accepter que tout le monde ne croit pas aux déclarations des développeurs.
Isaac a écrit :Il n'y a ni hypocrisie, ni orgueil de leur part, juste une l'audace (:D) d'innover et l'éspérance de révolutionner. Le reste n'est que folie de fans qui rêvent un peu trop et demandent une oeuvre d'impossible à réaliser.
Pourtant on n'est bien passé de:
Ainsi, un personnage se battant surtout à l'épée, de la main droite, verra son bras droit se développer plus rapidement que le gauche.
(GameKult au X01)
A un système de répartition de point
"A titre d'exemple, on pourra citer des statistiques apparentes un peu partout, comme dans d'autres RPG, ou une liberté de déplacement pas si absolue que prévu.
(GameKult, E3 2004).
On nous a rabachés les oreilles avec la liberté totale d'action alors que la quête principale en elle-même reste linéaire: on a un script avec des personnages clés que l'on ne peut pas assassinés par exemple. Une liberté comme on l'a faisait entendre au tout début permettrait de finir le jeu de la façon que l'on veut.
Rahan a écrit :Mais on ne peut s'empêcher de penser qu'en tout cas, comparativement aux envolées révolutionnaires et séductrices des premiers discours d'intention, le Fable d'aujourd'hui et donc celui auquel nous jouerons demain, a cherché à ne pas trop faire sécession avec le genre sous certains de ses aspects les plus communs et les plus appréciés, afin que tous s'y retrouvent un minimum.
Isaac a écrit :Apparement on a plus le droit que pensez qu'un jeu peu déclencher une révolution dans le monde video-ludique avant qu'il ne sorte.
Personne ne dit le contraire, il faut juste savoir faire la part des choses dans les critiques et les accepter comme un avis personnelle et non comme une généralité.
Et l'on a, aussi le droit, de ne pas voir dans un jeu la révolution tant annoncée.